Quelle assurance prêt immobilier CHOISIR

Assurance de prêt immobilier

Evitez de perdre 15 000€* sur votre assurance de prêt en faisant le bon choix.

 

Gratuit et sans engagement

* Sur le coût total de votre assurance de prêt. Pour un couple de cadres de 46 ans, non-fumeurs, qui empruntent 200 000 € sur 20 ans à un taux de 2 %, avec une date d’effet au 15/01/2018 (source : Observatoire BAO de l’assurance emprunteur – février 2017).

Quelles sont les différentes assurances concernant les crédits ?

Assurance collective et assurance emprunteur individuelle


L’assurance emprunteur est proposée par l’établissement prêteur au moment de la prise en charge du prêt. Il s’agit d’une offre négociée par l’établissement financier ou banque pour un groupe de clients de l’institution afin d’obtenir des tarifs avantageux ; c’est l’assurance de groupe.

Depuis la loi Lagarde, les emprunteurs ont le droit de souscrire une assurance autre que l’assurance-crédit fournie par l’établissement prêteur. C’est ce qu’on appelle l’assurance déléguée. L’emprunteur peut souscrire une assurance individuelle et personnalisée auprès de votre assureur 

Les garanties couvertes par l’assurance de prêt personnel doivent être au moins égales à celles fournies par l’établissement prêteur.

Assurance, en fonction du type de prêt et de la garantie fournie


Chaque contrat de prêt peut avoir sa propre assurance de prêt : assurance de prêt immobilier, de prêt relais, de prêt automobile, assurance de prêt à la consommation ou assurance de prêt commercial, etc.

Les garanties, les cotisations et les montants des primes varient. Selon le type de contrat de prêt, les garanties offertes sont différentes. Vous devez donc choisir entre les risques à couvrir : décès, chômage, maladie, incapacité, invalidité. Les conditions de l’assurance doivent être vérifiées avec soin car elles peuvent varier considérablement d’un contrat à l’autre.

 L’assurance emprunteur pour les crédits à la consommation 


L’assurance est souvent recommandée, voire obligatoire, pour les crédits à la consommation, mais elle est moins systématique que pour les prêts immobiliers.

Cependant, pour des millions d’emprunteurs, c’est une réalité. Il est encore souvent vendu à la va-vite par les établissements de crédit (proposant leurs contrats de groupe). Cependant, vous êtes libre de prendre l’institution qui vous assure et n’êtes donc pas obligé de choisir l’assurance proposée par le prêteur, d’où l’importance de comparer.

Elle peut donc, en pratique, être une condition d’obtention d’un crédit à la consommation, notamment d’une assurance décès invalidité, dès lors que l’établissement de crédit peut l’exiger en échange d’un prêt.

Le choix de la souscription d’une assurance dépend de votre appréciation personnelle du risque : lorsque le montant du prêt et la durée de remboursement sont importants, l’emprunteur peut avoir intérêt à souscrire une telle assurance afin de pouvoir rembourser les mensualités en cas d’événement de la vie sans laisser sa famille ou ses héritiers dans une situation difficile.

Quels sont les critères pour obtenir un prêt bancaire ?


Vous devez contracter un prêt auprès d’une banque, mais vous n’êtes pas sûr de remplir les conditions exigées par celle-ci. En effet, pour leur accorder un accord de prêt, les banques effectuent une analyse du risque client. Chaque institution décide de ses propres conditions d’acceptation, mais il est tout de même possible de déterminer les critères qui se présentent le plus souvent.


Facteurs pris en compte par les établissements de crédit :

  • 1 – Un revenu régulier 


Pour avoir droit à un prêt, vous devez disposer de revenus réguliers . La stabilité de votre travail est un critère essentiel pour les banques. Un contrat à durée indéterminée ou un emploi de fonctionnaire sont des atouts.

Pour les indépendants, les chefs d’entreprise et les free-lances, l’ancienneté est prise en compte. Les contrats à durée déterminée, les contrats temporaires ou les stages ne sont généralement pas pris en compte.

  • 2 – Faible taux d’endettement


Le taux d’endettement est le rapport entre le revenu net du ménage et le total des mensualités d’emprunt. Il est calculé comme suit. Taux d’endettement = (mensualité totale X 100) / salaire net Par exemple, une personne ayant un salaire net de 1 500 € aura un emprunt mensuel de 300 € : (300 x 100) / 1500 = 20% En France, les établissements de crédit considèrent un taux d’endettement maximum de 33%. Dans cet exemple, la mensualité totale du prêt ne doit pas dépasser 500 €/mois. Parfois, le taux d’endettement accordé peut être supérieur à 33 %, en fonction du montant de l’argent restant.

  • 3 – Un revenu résiduel adéquat


Le « reste à vivre » est la somme d’argent qui reste à une famille chaque mois après déduction des dépenses fixes et des mensualités d’emprunt (factures, impôts, transports, etc.). Chaque banque peut appliquer sa propre formule. 

  • 4 – Âge


Il est désormais possible d’emprunter après l’âge de 65 ans, mais les conditions sont très exigeantes (questionnaire de santé) . Le coût de l’assurance est très élevé et conduit parfois à dépasser les taux d’intérêt usuraires actuels, avec pour conséquence le refus du financement bancaire. De même, obtenir un prêt avant l’âge de 25 ans est très compliqué, même s’il s’agit d’un prêt à la consommation.

  • 5 – Contribution personnelle


L’apport personnel n’est pas un facteur nécessaire à l’obtention d’un prêt, bien que dans le cas d’un prêt immobilier, un apport de 10% soit généralement exigé. Plus il vous reste de moyens pour vivre, plus la banque est susceptible d’accorder un prêt sans dépôt.

  • 6 – Une situation financière saine


Les banques se sont assurées de ne pas accorder de crédit aux personnes ayant des antécédents de crédit. Ils vérifient systématiquement auprès de la Banque de France qu’il n’y a pas de dossier de crédit en cours car le risque de perte est trop présent. Il existe plusieurs types d’inscription afin de trouver d’éventuel dossier : FICP : fichier national des événements individuels de remboursement des crédits FCC : fichier central des chèques .

L’inscription dans les fichiers de la Banque de France est le principal motif de refus de prise en charge des banques, quelle que soit la nature de l’interdiction bancaire.